Corédigé avec Thierry Vircoulon et Marc-André Lagrange.

Marché de 25 milliards d’euros, le secteur humanitaire n’échappe pas aux pratiques de corruption. La lutte contre ces phénomènes, quoiqu’elle soit réelle, n’est pas suffisante. Elle doit s’affranchir d’une certaine réserve, devenir systématique pour gagner en efficacité et remettre en cause la distanciation grandissante entre pourvoyeurs et bénéficiaires de l’aide.

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